Née en 1981, Te Temse. Des vagues qui s’écrasent sur une falaise rocheuse, un tigre sauvage, le bruit des pas ou l’odeur de mandarines pelées … ce sont des concepts ou des lieux qui peuvent inspirer comme archétype. Pourtant, ils sont non seulement image, ils contiennent également le potentiel de l’imagination. Les installations de Sarah […]

Née en 1981, Te Temse.

Des vagues qui s’écrasent sur une falaise rocheuse, un tigre sauvage, le bruit des pas ou l’odeur de mandarines pelées … ce sont des concepts ou des lieux qui peuvent inspirer comme archétype. Pourtant, ils sont non seulement image, ils contiennent également le potentiel de l’imagination.
Les installations de Sarah De Wilde incitent le spectateur à voir/à regarder et de mettre en cause la façon dont nous percevons notre environnement. Voir et “l’acte de regarder” sont subtillement activés. Des diapositives et films analogiques sont souvent à la base de ses installations, à la fois comme l’objet qu’ils sont, pour la couleur quand on les tient vers la lumière, ou l’image qui est dans le cadre. Elle joue avec la lumière, la couleur, le soleil, des projecteurs, le verre, le bruit, la transparence, les différents types de lampes, des anecdotes. Toujours avec l’idée que la perception consciente porte en elle le potentiel de changement.

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